Le blog de cage-de-chastete-couple
Une fois qu'il est en cage, il faut bien entendu "libérer l'oiseau" de temps en temps ! Aussi bien pour lui faire prendre du bon temps (avec vous bien sûr !) que d'un point de vue hygiénique. Je ne parle pas ici de la toilette intime (toutes les cages sont "aérées" et permettent de laver l'oiseau sous la douche sans avoir à la retirer) mais plutôt de la nécessité physiologique pour l'homme de se vider les bourses et la prostate plus ou moins régulièrement, afin que le liquide séminal ne s'accumule pas en excès.
Lorsque l'on a une vie de couple "normale", le rythme des relations sexuelles suffit généralement à soulager et donc satisfaire l'homme. Une à deux relations sexuelles par semaine permet d'entretenir un "bon fonctionnement de la mécanique" masculine. En dessous d'une relation sexuelle par mois il faut absolument permettre à votre homme de pouvoir se soulager d'une manière ou d'une autre, sinon il y a risque de pollutions nocturnes voire de douleurs et de maladies dues au trop plein de liquide séminal.
Bien souvent ce type de relation correspond à une libération sexuelle sans comparaison pour la femme. Pour la bonne acceptation de monsieur elle use de ces meilleurs moyens pour maintenir une excitation sexuelle permanente ayant pour résultat de le maintenir dans une situation de désir continu. La femme inculque également à son homme le plaisir de la faire jouir très régulièrement.
Pourtant là ou la femme peut recommencer plusieurs fois à la suite, la jouissance de l’homme laisse en général place à une baisse d’attention.
Il vous faudra donc prendre en considération que monsieur, comme tout homme, éprouve quant à lui un besoin physiologique de se "vider" selon une fréquence plus régulière. Dans ce cas, quelques solutions ‘soft’.
- Lui permettre la masturbation. Mais une masturbation décidée et autorisée par vous, donc contrôlée... et donc vécue comme non culpabilisante de part et d'autre. Pour cette solution c’est vous qui menez les choses et vous devez faire preuve de façon expressive et autoritaire du plaisir que vous prenez à le faire jouir. Si vous souhaitez impérativement le remettre en cage, attachez-lui les mains juste avant l’expulsion. Cela vous permettra de renfermer l’oiseau plus simplement.
- Plus difficile à mettre en place mais plus excitant et plus facile à vivre au quotidien, vous pouvez le dresser à éjaculer d’excitation dans sa cage. Cette méthode demande beaucoup de rigueur. Pendant une période donnée, il faut pousser l’homme au limite de son excitation et le faire ce masturber avec interdiction d’éjection de sa semence. Ce plusieurs heures par jour en l’excitant sur le sujet qui correspond au fantasme le plus présent dans votre couple.
Après quelques semaines l’homme assimilera son plaisir à la réalisation de ce phantasme et ce videra naturellement dans sa cage à l’évocation ou à la réalisation du fantasme commun.
- L’orgasme ruiné est une technique de contrôle d’orgasme du soumis qui implique la stimulation du pénis jusqu’au point de non-retour (PNR), souvent après une séance de d’excitation interminable, en jouant avec la limite de l’orgasme. La stimulation du pénis doit impérativement s’arrêter au moment précis du point de non-retour, ruinant ainsi l’orgasme du mâle en minimisant le plaisir pendant l’éjaculation. Les orgasmes ruinés permettent souvent de garder leur excitation. Ils sont agréables à voir mais peuvent être exaspérants ou douloureux si trop fréquents. C’est pourquoi dans une relation de couple ils resteront intéressants s’ils sont pratiqués occasionnellement.
- La pleureuse, technique de pointe avec des effets extrêmes, plus tôt que d’aller jusqu’au point de non-retour, la stimulation est arrêtée juste avant. Un peu de sperme s’écoule de la bite, mais le mâle restera au bord de l’orgasme. Une fois le contrôle repris sur la bite, la procédure est répétée encore et encore, avec à chaque fois du sperme qui s’écoule en petite quantité. Finalement, les couilles peuvent être vidées par ce moyen. Une fois vide, le pénis peut être stimulé jusqu’à un orgasme « sec ».
